Friday, January 27, 2017

 

Le Théâtre avant tout, même et surtout musical



L’INÉNARRABLE THÉÂTRE DE MA VIE 

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Je suis monté sur un praticable devant un public en professionnel dès le début des années 70 pour l’association France-URSS et présenter une lecture de poèmes de Maïakovski dans l’exposition dédié à ce poète russe au Musée des Beaux Arts de Bordeaux. Je n’ai pas arrêté depuis et les scènes se sont succédées, les micros radios à partir de 1979, et tous les genres y sont passés. J’ai écrit pour le théâtre (Centre Dramatique National de Béthune et Théâtre Louis Richard de Roubaix) et j’ai bien sûr écrit et produit des heures et des heures de poésie, théâtre et autres formes littéraires pour la radio, pour des radios, Radio Quinquin, Radio Canal-Sambre, Radio Craponne, RCF et quelques autres encore, sans parler du travail de critique de spectacles vivants, de cinéma ou de littérature.

J’ai assisté à des centaines de pièces, d’opéras, de ballets, de festivals, de concerts et les ai couverts pour les radios mais aussi pour Liberté, quotidien de Lille, L’Éveil de la Haute-Loire du Puy en Velay, et de nombreuses publications universitaires ou volumes consacrés à Shakespeare et d’autres. Ma collaboration avec Maurice Abiteboul et sa revue Théâtres du Monde remonte à la fin du siècle dernier. Je dois dire que la liberté de style et de ton n’est pas toujours facile à conquérir.


La révolution informatique, la quatrième révolution industrielle comme certains veulent la nommer, ou encore la révolution de l’automation ou de la robotique ou de l’intelligence artificielle, selon les écoles des uns et des autres, rend aujourd’hui la pratique du théâtre en tant que spectateur, chercheur ou même reporter plus flexible puisqu’on a alors le « spectacle dans un fauteuil » si cher à Alfred de Musset.

On a ainsi le monde entier au bout de sa télécommande ou de son lecteur DVD du moins si les spectacles sont disponibles dans ce format. Et le dépaysement disparaît de nos cerveaux puisqu’on se fait de plus en plus à la diversité d’un monde qui est des plus infinis. On peut ainsi passer de Londres à New York, de Shanghai à Moscou, du Cap à Toronto, et bien d’autres endroits encore qui nous deviennent ainsi familiers.

Dans ce qui suit les trois premières parties portent sur le théâtre parisien, principalement des auteurs vivants ou du moins contemporains, puis une escapade dans la revue Théâtre du Monde d’Avignon et enfin une liste à peu près exhaustive de mes écrits qu’on dira de recherche, universitaire ou non, sur le théâtre. Beaucoup d’autres choses existent sous forme d’inédits que le monde d’aujourd’hui nous permet plus facilement de publier, distribuer et diffuser. Mes pièces de théâtre sont hélas dans des formats papiers aujourd’hui totalement hors de circulation et qu’il me faudrait scanner et re-publier.

Un projet comme un autre : 36 Sans épouvante et sans souliers, Verte Verte la Rainette, César et Constantin, Jean Meunier et tout le répertoire radio pour la plus grande partie inédit, sans parler de l’anglais (quatre pièces jouer au Festival de Bradford, 1994).

En ce moment je suis sur les 21 opéras, et œuvres vocales que je classe dans ce genre, de Benjamin Britten pour y étudier la figure de l’étranger. Un travail énorme dont les notes rédigées aujourd’hui comptent 77 624 mots. Je viens juste de terminer ce travail exploratoire. Il ne reste plus qu’à écrire un article de 10 000 mots. Une bagatelle en quelque sorte.

Je vous donne donc ici des écrits sur le théâtre relativement récents dont la plupart sont des critiques en général publiées sur Amazon.fr quand en français et tous les Amazon quand en anglais. Je dois dire que j’écris infiniment plus en anglais qu’en français.

Dr Jacques COULARDEAU



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