L’INÉNARRABLE
THÉÂTRE DE MA VIE
Jacques Coulardeau
et le Théâtre Parisien @ Academia.edu & SlideShare.net (72)
&
Je suis monté sur un praticable devant un public
en professionnel dès le début des années 70 pour l’association France-URSS et
présenter une lecture de poèmes de Maïakovski dans l’exposition dédié à ce
poète russe au Musée des Beaux Arts de Bordeaux. Je n’ai pas arrêté depuis et
les scènes se sont succédées, les micros radios à partir de 1979, et tous les
genres y sont passés. J’ai écrit pour le théâtre (Centre Dramatique National de
Béthune et Théâtre Louis Richard de Roubaix) et j’ai bien sûr écrit et produit
des heures et des heures de poésie, théâtre et autres formes littéraires pour
la radio, pour des radios, Radio Quinquin, Radio Canal-Sambre, Radio Craponne,
RCF et quelques autres encore, sans parler du travail de critique de spectacles
vivants, de cinéma ou de littérature.
J’ai assisté à des centaines de pièces, d’opéras,
de ballets, de festivals, de concerts et les ai couverts pour les radios mais
aussi pour Liberté, quotidien de
Lille, L’Éveil de la Haute-Loire du
Puy en Velay, et de nombreuses publications universitaires ou volumes consacrés
à Shakespeare et d’autres. Ma collaboration avec Maurice Abiteboul et sa revue Théâtres du Monde remonte à la fin du
siècle dernier. Je dois dire que la liberté de style et de ton n’est pas
toujours facile à conquérir.
La révolution informatique, la quatrième révolution
industrielle comme certains veulent la nommer, ou encore la révolution de
l’automation ou de la robotique ou de l’intelligence artificielle, selon les
écoles des uns et des autres, rend aujourd’hui la pratique du théâtre en tant
que spectateur, chercheur ou même reporter plus flexible puisqu’on a alors le
« spectacle dans un fauteuil » si cher à Alfred de Musset.
On a ainsi le monde entier au bout de sa
télécommande ou de son lecteur DVD du moins si les spectacles sont disponibles
dans ce format. Et le dépaysement disparaît de nos cerveaux puisqu’on se fait
de plus en plus à la diversité d’un monde qui est des plus infinis. On peut
ainsi passer de Londres à New York, de Shanghai à Moscou, du Cap à Toronto, et
bien d’autres endroits encore qui nous deviennent ainsi familiers.
Dans ce qui suit les trois premières parties
portent sur le théâtre parisien, principalement des auteurs vivants ou du moins
contemporains, puis une escapade dans la revue Théâtre du Monde d’Avignon et enfin une liste à peu près exhaustive
de mes écrits qu’on dira de recherche, universitaire ou non, sur le théâtre.
Beaucoup d’autres choses existent sous forme d’inédits que le monde
d’aujourd’hui nous permet plus facilement de publier, distribuer et diffuser.
Mes pièces de théâtre sont hélas dans des formats papiers aujourd’hui
totalement hors de circulation et qu’il me faudrait scanner et re-publier.
Un projet comme un autre : 36 Sans épouvante et sans souliers, Verte Verte la Rainette, César et Constantin, Jean Meunier et tout le répertoire radio
pour la plus grande partie inédit, sans parler de l’anglais (quatre pièces
jouer au Festival de Bradford, 1994).
En ce moment je suis sur les 21 opéras, et œuvres
vocales que je classe dans ce genre, de Benjamin Britten pour y étudier la
figure de l’étranger. Un travail énorme dont les notes rédigées aujourd’hui
comptent 77 624 mots. Je viens juste de terminer ce travail exploratoire.
Il ne reste plus qu’à écrire un article de 10 000 mots. Une bagatelle en
quelque sorte.
Je vous donne donc ici des écrits sur le théâtre
relativement récents dont la plupart sont des critiques en général publiées sur
Amazon.fr quand en français et tous les Amazon quand en anglais. Je dois dire
que j’écris infiniment plus en anglais qu’en français.
Dr Jacques COULARDEAU
Research
Interests:
# posted by Dr. Jacques COULARDEAU @ 1:45 PM